Fin de la pub sur France télévision??? + Pub Leclerc

Fin de la pub sur le service public : qu'en pensez-vous ?


Le
8 janvier, Nicolas Sarkozy annonçait la fin de la publicité sur France
Télévisions pour l'année prochaine. Redevance, programmes, nombre de
chaînes, premier tour d'horizon des conséquences possibles…


ARTICLE PARU DANS LE N°100 DE TV GRANDES CHAINES

Le PAF est en passe d’être redessiné. Le président de la République
vient d’annoncer la suppression de la publicité sur les chaînes
publiques dans un an. Première conséquence : les chaînes privées vont
récupérer cette manne. Avec l’obtention prochaine de nouvelles coupures
publicitaires, elles vont faire flamber le prix des spots et, de ce
fait, voir progresser leur chiffre d’affaires.

Comment peuvent être financées les chaînes publiques ?

En supprimant la publicité, France Télévisions doit trouver 1,2
milliard d’euros. En effet, les annonceurs faisaient rentrer 800
millions d’euros de recette par an et 400 millions sont nécessaires
pour créer les programmes
qui se substitueront aux trois heures de pub quotidiennes.

Où trouver l’argent ?

Une augmentation de 30 euros de la redevance comblerait le trou laissé
par l’arrêt de la pub. Son montant – 116 euros par foyer – est moins
élevé qu’en Allemagne (156 euros) ou qu’en Grande-Bretagne (181 euros).
Seul bémol : l’Élysée est hostile à cette augmentation. Autres pistes :
taxer de 1 % les recettes publicitaires des médias audiovisuels privés,
le chiffre d’affaires des opérateurs Internet et de la téléphonie
mobile, les téléviseurs, les micro-ordinateurs, les téléphones
portables… Produit escompté : 170 millions d’euros.

Une chaîne privatisée ?

Le président de la République s’est prononcé : « La privatisation d’une
chaîne du service public ne se pose pas. » Il a cependant ajouté une
condition : « Si les programmes sont différents. » Autrement dit, elle
se
pose. La privatisation d’une chaîne – et toutes ont des atouts pour des
investisseurs privés –, serait vue d’un mauvais œil par TF1 et M6,
auxquelles elle risquerait de faire de l’ombre.

Les programmes changeront-ils ?

En ce qui concerne le sport, France Télévisions n’a jamais pu s’aligner
sur les événements les plus prestigieux : Coupes du monde de rugby et
de football, formule 1… Restent dans son escarcelle Roland-Garros, le
Tour de France, le Tournoi des Six Nations et le Dakar. Problème : ces
événements coûtant cher à produire, ils pourraient rejoindre le privé.
Dans les autres domaines, plusieurs stars des chaînes publiques
– Stéphane Bern, David Pujadas, Patrick Sébastien ou Michel Drucker –
ont affirmé qu’elles resteraient fidèles au service public.

09:48


Suppression pub sur France Télé: Nouveau rebondissement



Un nouveau rebondissement pour la publicité sur France Télévisions.
Dans un premier temps, Nicolas Sarkozy avait annoncé la fin totale de la publicité sur France télé à partir du 1er janvier 2009.
Mais, dès son installation, la Commission Copé chargée de réfléchir sur le sujet avait évoqué l'hypothèse de supprimer la pub uniquement après 20 heures.
A en croire le Figaro, ce
matin, les choses ont encore évolué, car la suppression de la pub ne
concernerait que la tranche 18h/21h. En clair les deux tunnels de pubs
avant et après le JT seraient supprimés, mais on conserverait le 1/4 de
pub entre le Prime et la deuxième partie de soirée.
Du coup, le gouvernement n'aurait plus 1 milliard à trouver mais seulement 470 millions d'euros à compenser...

suis pas contre
au moins les films et émissions comencerai a l'heure et ont serai moins tenter d'acheter les nouveautés.

Oui, au moins les films seraient diffusés à l'heure, tu as raison.
A moins qu'ils n'en profitent pour insérer un programme entre le JT et le film!

oué aussi genre une connerie comme que du bonheur ca serai bien

je m'en fiche !

la seule chose que je demande c'est Leclerc, pour le bien de la population arrete de diffuser ce Spot publicitaire à visée politique (interdit normalement) qui influence la population sans qu'elle ne mesure le réel danger de la sortie de produit du monopole pharmaceutique !


de même pour les affiches !

(c'est limite de la propagande pour essayer d'obtenir ce que Mr Leclerc désire...)

Je suis un peu en dehors de la paharmaceutique mais je me doute qu'on ne peut pas faire n'importe quoi avec les médicaments.
Il doit y avoit un danger pour les labos non? Si on vend les médicaments moins chers, les labos reçoivent moins?

En fait, à part ce danger, j'ai du mal à voir quels sont les autres.

Quels sont les véritables enjeux?

Juste grphiquement parlant, je n'aime pas cette pub. Elle fait brouillon.

1) c'est un post à visée politique (interdit par la loi, en dehors des campagnes publicitaires, et sans vérification de la commission des pubs, qui avez d'ailleurs donné son désaccord en ce qui concerne la pub de Leclerc!)
"Le bureau de vérification de la publicité a rendu un avis négatif."


2) Leclerc, ne fait pas de la pub, mais cherche à faire pression sur les politiciens et à introduire des idées dans la tête des gens !

> je m'explique, il faut savoir que les médicaments dont il demande le droit de vente, sont des médicaments qui à l'heure actuelle, au vu de la loi actuelle, font parti du monopole pharmaceutique et donc ne peuvent être vendu sans le contrôle d'un pharmacien !
En d'autres mots, ne peuvent être vendu que dans des pharmacies ... et NON dans des parapharmacies !
Mr Leclerc demande à vendre ses médicaments dans les parapharmacies des centres Leclerc !

Leclerc lance une nouvelle campagne médiatique choc. Son but: obtenir l’autorisation de vendre des médicaments non remboursés dans son réseau de parapharmacies. Sa promesse: faire baisser les prix de 25%


3) je copie ICI la réponse du président de l'ordre des pharmaciens qui est très juste :
"Le Président du Conseil national de l’Ordre des Pharmaciens, Jean Parrot, réagit :

Que pensez-vous de la publicité de Leclerc qui passera ce week end sur TF1 et M6 pour demander? Il souhaite que ses "pharmaciens puissent vendre des médicaments non remboursés à prix Leclerc" et affirme que ces produits "sont de plus en plus chers et de plus en plus nombreux"...
Cette publicité est dénigrante pour le médicament et pour le pharmacien. Elle est aussi trompeuse par rapport à la publicité en général car son appel va à l’encontre d’une loi existante. Les médicaments non remboursés ne peuvent légalement être vendus qu’en pharmacie. Quant aux produits déjà commercialisés dans son réseau de parapharmacie, ils ne sont pas du tout moins chers que dans d’autres réseaux. Leclerc confond médicaments et marchandises, pharmaciens et chefs de rayons.

Lorsqu’un médicament est déremboursé, pourquoi les prix augmentent-ils autant, comme l’explique Michel-Edouard Leclerc?
Dès qu’un médicament sort du système de prix réglementé par l’Assurance Maladie, les laboratoires retrouvent leur liberté et augmentent les prix, ainsi que tous les acteurs de la chaîne. Notamment l’Etat qui applique une TVA de 5,5% aux médicaments non remboursés contre 2,1% lorsqu’ils sont remboursés. En affirmant qu’il fera baisser les prix des médicaments, Leclerc agit avec provocation et tente une manipulation. L’impact sur le budget des ménages serait limité car les français dépensent 30 euros par an pour acheter des médicaments non remboursés. En revanche, cela enrichirait son réseau et porterait atteinte à la sécurité des patients.

Il y a un pharmacien dans chacune des 110 parapharmacies Leclerc en France: la sécurité des patients vous semble quand même en question?
Oui, il faudrait que toute la chaîne de distribution du médicament soit certifiée depuis la fabrication du médicament, comme c’est le cas dans le réseau des officines. Et ce n’est pas en mettant les contre-indications en données informatiques aux caisses que la sécurité du médicament, et donc celle du patient,sera assurée. C’est le conseil du pharmacien qui l’apporte. Or, avec 55 000 pharmaciens d’officine, nous sommes en contact avec 4 millions de personnes par jour. Rien à voir avec les 5,7 millions de clients conseillés par Leclerc chaque année."


4) on va vers une dérive importante !
- premièrement car on est en train de détruire, le métier de pharmacien, et ses connaissances, 6 ans d'étude c'est pas rien !
- deuxièmement, les centres Leclercs sont ouvert plus de 35h par semaine ... 1 pharmacien ne peut assurer le contrôle de tous les médicaments achetés dans la para pendant 1 semaine
- troisièmement, un pharmacien qui travaille dans une parapharmacie, n'est pas inscrit à l'ordre des pharmaciens, il ne met donc pas en jeu son diplome ! Ce qui fait que même si il a la formation de pharmacien, il ne peut prétendre une telle chose ! Si jamais il y a un problème, le patient ne pourra s'adresser qu'à ce faux pharmacien ... juridiquement, en cas de poursuite... on va faire une fuite des responsabilités !
Comment conseiller une personne si on a pas une responsabilité ? (je vous laisse réfléchir!)

4) et le gros danger est là ... les médicaments vont être en libre accés et sans contrôle ...
on va assisté à une hausse des surdosages et une mauvaise utilisation des médicaments ... et donc des consultations, des hospitalisations, des examens médicaux en plus pour corriger tous ses mauvais effets ...
Est ce réellement économique au final ?
et là, c'est clair et net, la sécurité sociale y perd !


pour toutes autres questions je suis dispo

Ok! Je comprends mieux maintenant.
merci pour cet éclairage Cathy!!!!

Dans le Leclerc près de chez moi, il y a une pharmacie et une parapharmacie.
Je ne vais qu'à la pharmacie.

J'espère que cette pub va être enlevée et que les pharmaciens vont porter plainte.

Et je ne comprends pas TF1 et M6 qui passent outre l'avis des commissions! C'est inadmissible ça aussi.

c'est de la propagande ...

et TF1 et M6 aime bien se démarquer ...
reste aussi à savoir, combien Mr Leclerc a donné à TF1 et M6 pour la diffusion du spot !

cathy-kat a écrit:

c'est de la propagande ...

et TF1 et M6 aime bien se démarquer ...
reste aussi à savoir, combien Mr Leclerc a donné à TF1 et M6 pour la diffusion du spot !

Il na vaut mieux pas le savoir. Ca nous rendrait malades!

19:27


Nouvelle demande d'interdiction de la pub télé Leclerc-VIDEO



Univers
Pharmacie a annoncé vendredi avoir obtenu une assignation en référé
d'heure à heure visant à faire retirer la campagne de publicité des
centres Leclerc sur la vente de médicaments en grandes surfaces, sous
peine d'astreinte de 20.000 euros par jour de retard.
Univers Pharmacie est à la fois une
centrale d'achat et une enseigne qui est présente dans 89 villes et
regroupe 473 pharmaciens.
La demande de retrait de la campagne
publicitaire sera examinée mercredi par le Tribunal de Grande Instance
(TGI) de Colmar (Haut-Rhin), siège du groupe pharmaceutique.
Michel-Edouard Leclerc a lancé
vendredi dernier une campagne publicitaire pour réclamer la vente dans
ses supermarchés de médicaments non remboursables et a assuré qu'il
pourrait vendre des médicaments à prescription facultative 25% moins
cher dans ses parapharmacies par rapport à la moyenne si le
gouvernement ouvrait ce marché à la distribution.

15:00


Leclerc condamné à retirer sa pub télé - VIDEO




Le tribunal de grande instance de Colmar a condamné lundi le
groupe Leclerc à retirer ou modifier sa campagne publicitaire sur la
vente en grande surface de médicaments non remboursés sous peine
d'astreinte, a indiqué l'avocat des syndicats et groupements de
pharmaciens.
Univers Pharmacie avait annoncé avoir
obtenu une assignation en référé d'heure à heure visant à faire retirer
la campagne de publicité des centres Leclerc sur la vente de
médicaments en grandes surfaces, sous peine d'astreinte de 20.000 euros
par jour de retard.
Univers Pharmacie est à la fois une
centrale d'achat et une enseigne qui est présente dans 89 villes et
regroupe 473 pharmaciens.
La demande de retrait de la campagne
publicitaire sera examinée mercredi par le Tribunal de Grande Instance
(TGI) de Colmar (Haut-Rhin), siège du groupe pharmaceutique.
Michel-Edouard Leclerc a lancé une
campagne publicitaire pour réclamer la vente dans ses supermarchés de
médicaments non remboursables et a assuré qu'il pourrait vendre des
médicaments à prescription facultative 25% moins cher dans ses
parapharmacies par rapport à la moyenne si le gouvernement ouvrait ce
marché à la distribution.
Le patron des centres
Leclerc, Michel-Edouard Leclerc, a annoncé lundi qu'il faisait appel de
l'interdiction de sa campagne publicitaire sur la vente en grande
surface des médicaments non remboursables, prononcée par le tribunal de
grande instance (TGI) de Colmar.
"Nous allons faire appel de la décision", a-t-il confié dans un entretien téléphonique à l'AFP.

12:54


Leclerc va relancer la publicité sur la vente de médicaments



Michel-Edouard
Leclerc s'est dit "satisfait" mercredi de la décision de la Cour
d'appel de Colmar qui lui a donné raison face aux groupements et
syndicats de pharmaciens, et indiqué à l'AFP qu'il relancerait une
campagne publicitaire modifiée sur la vente de médicaments.
"Je suis satisfait de la décision de la
Cour d'Appel. Maintenant que nous avons été dédouanés, nous allons
reprendre le débat", a-t-il déclaré.
"Je vais modifier la forme des
publicités", a ajouté le patron du premier réseau d'hypermarchés en
France, refusant de donner la date des prochaines campagnes
publicitaires.
La
Cour d'appel de Colmar a donné raison mercredi au groupe de
distribution Leclerc et débouté les groupements et syndicats de
pharmaciens qui lui demandaient de retirer ou modifier sa campagne
publicitaire sur la vente en grande surface de médicaments non
remboursés.

Revue de presse / Source: AFP

16:41


TV Sans pub: l'existence de France Télévisions "menacé" ?




La
Société des journalistes (SDJ) de France 2 a demandé vendredi une
compensation de la suppression de la publicité sur la télévision
publique "dans un bref délai", faute de quoi l'existence de France
Télévisions "serait menacée" selon elle.
"Si la suppression de la publicité n'était
pas compensée dans un bref délai par un financement équivalent, pérenne
et durable, l'existence même de France Télévisions serait menacée",
assure la SDJ dans une tribune publiée dans le Monde daté de samedi.
"Pourquoi ne pas réfléchir à une augmentation de la redevance, qui est déjà l'une des plus basses d'Europe?", interroge la SDJ.
Face aux propositions "complexes et
hypothétiques", selon elle, que la commission Copé a formulées mercredi
pour financer la télévision publique sans publicité, "nous sommes très
inquiets mais bien déterminés à ne pas nous laisser faire", affirme la
SDJ.
Revue de presse / Source: AFP

leclerc

08:53


Vers une fiscalisation de l'internet et de la téléphonie?



Le
ministre du Budget, Eric Woerth, a suggéré samedi d'"explorer d'autres
pistes" que celle de la redevance pour compenser la suppression de la
publicité dans l'audiovisuel public, citant une "fiscalisation modeste
d'internet et de la téléphonie mobile, et fixe d'ailleurs".
"C'est plutôt d'autres pistes (que la
redevance, ndlr) qu'il faut explorer, et notamment la piste touchant
par exemple à une fiscalisation modeste d'internet et de la téléphonie
mobile, et fixe d'ailleurs", a déclaré le ministre, interrogé par
France 3 Picardie.
"La redevance n'est pas la source de
financement à venir du surcroît de dépenses qu'il faut mettre en face
de la perte des publicités dans le groupe France Télévisions", a-t-il
estimé.
Revue de presse / Source: AFP

Eh allez, c'est encore les mêmes qui vont trinquer!

undi 02 juin 2008



Télé publique sans pub : menaces sur la création



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Le
comédien Pascal Légitimus et le musicien Benjamin Biolay soutiendront,
ce soir, l'action des professionnels, affirme la productrice Fabienne
Servan-Schreiber. : Thierry Creux




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Ce soir, les professionnels de l'audiovisuel se réunissent à Paris pour
réclamer une hausse de la redevance, tandis que la commission Copé se
déchire...



Un « non » catégorique du président Sarkozy à l'augmentation de la
redevance (réaffirmé mardi), quatre membres du PS (sur 32) qui claquent
la porte de la commission sur « l'avenir de l'audiovisuel public »
dirigée par Jean-François Copé... La suppression de la publicité à France Télévisions paraît mal engagée.Ce
lundi soir, à 20 h, ce sont les producteurs, réalisateurs et comédiens
qui entrent en jeu, pour peser dans le débat. Redoutant une télévision
publique qui carbure uniquement aux divertissements, talk-shows et
séries américaines, trente-trois organisations de professionnels de
l'audiovisuel vont tirer la sonnette d'alarme en discours, sketchs et
chansons, sur la scène des Folies-Bergère, à Paris. Cali, Benjamin
Biolay, Pascal Légitimus et Matilda May doivent notamment participer à
cet « appel du 2 juin » (1).« Nous sommes très inquiets, explique l'une des organisatrices de la manifestation,la productrice Fabienne Servan-Schreiber. France TV a déjà un trou énorme dans son budget cette année. Et les responsables nous ont prévenus qu'il risque de manquer 150 millions d'euros au budget de l'année prochaine. »
Or, selon elle, le groupe public finance, à lui seul, 50 % de la
création de films, séries, documentaires et dessins animés pour la TV.
Ce qui représente plus de 350 000 journées de travail pour les
intermittents du spectacle.Les tournages se ralentissent déjà,
en attendant que le gouvernement trouve une solution pour compenser la
suppression de la publicité, en vigueur normalement à partir de l'année
prochaine. « Beaucoup de films, de conventions d'écriture
(qui portent sur la rédaction du scénario et la production) ont été
retardés. Je ne crois pas qu'il y ait eu d'annulations, pour l'instant », poursuit la présidente de la société Cinétévé (qui a le téléfilm L'embrasement, la série Les oubliées...).Par
peur de représailles, producteurs et réalisateurs préfèrent, en
général, ne pas donner d'exemple précis. Sans se dire concerné, Michel
Andrieu, le réalisateur des Vacances de Clémence (récemment sur France 2) laissait entendre, début mai, que France 3 « aurait quasiment suspendu tous ses tournages ».Cinq soeurs, le feuilleton quotidien de France 2, doit faire une pause cet été. Et une suite paraît également bien compromise.Florence LE MÉHAUTÉ.(1) Texte disponible sur www.appeldu2juin.com.Séance plénière de la commission mercredi. Les
élus PS ont claqué la porte après l'annonce de Nicolas Sarkozy.
D'autres membres, comme Jean-Pierre Guérin (président de l'Union
syndicale de la production audiovisuelle), souhaitent les voir revenir
à la séance, ce mercredi, pour réaffirmer la solution de la redevance
(10 € par mois par foyer, contre 30 € environ pour un abonnement à
Canal +).Deuxième coupure publicitaire sur les chaînes privées.
L'annonce, vendredi par Jean-François Copé, d'une éventuelle deuxième
coupure publicitaire dans les programmes des chaînes privées a fait
bondir les sociétés de droits d'auteur, comme la SACD et la SCAM, et
des membres de la commission qui y voient un cadeau à TF1 et M6. « D'un
côté, on modernise le service public sans lui donner les moyens et de
l'autre, on ouvre les vannes au privé. C'est d'une maladresse
incroyable, à la limite de la malveillance », estime Hervé Chabalier, patron de l'agence Capa.

17:55


TV sans pub: vers une taxe sur le net et le téléphone !



La
commission Copé, chargée de réfléchir à l'avenir de la télévision
publique sans publicité, proposera à Nicolas Sarkozy un seul scénario
de financement, qui passe par des taxes et une indexation de la
redevance, a-t-elle indiqué mercredi.
Pour le financement, "nous nous sommes
retrouvés sur un scénario unique", a déclaré le président de la
commission, Jean-François Copé, lors d'une rencontre informelle avec
quelques journalistes. Le rapport d'étape du 21 mai, présenté par la
commission présidée par le président du groupe UMP à l'Assemblée,
évoquait trois options.
La commission Copé, qui a tenu
mercredi matin son ultime réunion, remettra ses conclusions le 25 juin
au président de la République.
Pour compenser la suppression de la
publicité, la commission propose une taxe de 0,5% sur le chiffre
d'affaires des opérateurs internet et de téléphonie mobile (soit 210
millions d'euros), une taxe sur les fréquences radio-électriques (100
millions), une taxe sur les recettes publicitaires supplémentaires des
télévisions privées (pour 80 millions).
Ces 80 millions seraient versés à
l'Institut national de l'audiovisuel (INA), en remplacement de la
redevance jusqu'à présent perçue par l'INA et qui reviendrait
dorénavant à France Télévisions. "Cela permettra de ne plus dire que
les télévisions privées payent pour les télévisions publiques. Cela va
détendre tout le monde", a estimé Jean-François Copé.
De même, la redevance perçue pour RFI
(60 millions) serait versée à France Télévisions, RFI devant faire
partie de la holding de l'audiovisuel extérieur (avec France 24 et
TV5Monde) et son budget dépendant donc de l'Etat.
Enfin la commission Copé recommande d'indexer sur l'inflation la redevance, actuellement de 116 euros.

Revue de presse / Source: AFP

Et allez!!!!

Nous sommes des vaches à lait: on va traire le liquide jusqu'à épuisement.