Les magasines people de cette semaine du 25 Septembre

Quand "Télé Star" doute de Britney Spears















Oups par-ci, oups par-là... >


Harcelée, attaquée, incontrôlable, ingérable, Britney Spears va mal. En ces temps chaotiques, la lolitrash sort "malgré tout" un nouvel album, le bien nommé Blackout. Un succès. Mais un doute s'installe et Télé Star pose la question qui fâche : chante-t-elle vraiment sur son disque ? "Sur la plupart des chansons, sa voix est tellement trafiquée qu'on ne la reconnaît plus. (...) Ici la tessiture est changée via le logiciel Auto-Tune, là les ingénieurs du son ont eu recours au vocodeur pour robotiser des voix." Certes, elle n'est pas la première à le faire, mais là, on frise l'overdose d'effets spéciaux ! Au fond, peu importe, bonne ou mauvaise image, Britney fera une promo minimale, frôlant le zéro. Son planning : "Pas d'interview, pas d'émission de télé, pas de concert." Mais le shopping, ça oui. Ses amis les paparazzis aux trousses. C'est largement suffisant... Kiefer Sutherland parle de Jack Bauer, le héros qu'il incarne dans 24. "Son destin est entre les mains des scénaristes, reconnaît l'acteur. Ce qui est sûr, c'est qu'il n'aura certainement pas le temps de devenir vieux !" Russell Crowe évoque son dernier film, American Gangster, dans lequel il incarne un flic qui met la main sur 50 millions de dollars. Si ça lui arrivait ? "Je prends le butin, je ne donne rien à personne et je dépense tout jusqu'au dernier dollar"... Un peu de Star Ac'... Dans la série, "c'est fou comme le monde est petit", on apprend que Maureen et Dojima se connaissaient déjà. Pour promouvoir une série de concerts, ils ont participé en choeur à des émissions télé. Rayon "perles" : "J'ai pas inventé la poudre à couper le beurre", nouvelle expression inventée par Jasmine, et "Vous allez voir les quatre photos des trois nominés...", une énième jolie bourde verbale de Nikos Aliagas. Oups. (Jordane Guignon)

Céline Dion n'en peut plus dans "Closer"















Au bout du rouleau... la tranquillité ? >


L'heure de la révolte a-t-elle sonné pour Céline Dion ? Fatiguée, épuisée par des années de succès (et ses obligations), la diva québécoise semble au bout du rouleau. "Elle n'en peut plus de cette vie de forcenée, nous dit Closer. Cette existence entre deux avions, deux hôtels, deux pays ne la fait plus rêver." Désormais, elle aspire à plus de tranquillité et ne veut plus être "toujours disponible, toujours gentille, jamais malade." Oui, mais ça commence quand ? Premières vacances "en célibataire" pour Cécilia (joyeux 50e anniversaire au passage !). C'est à New York qu'elle a passé quelques jours avec ses enfants, "une mère aimante, entourée de l'affection des siens." Inquiétude pour Sarah Michelle Gellar, devenue "terriblement filiforme" ; Delphine Chanéac a la boule à zéro (ouf, c'est pour un film) ; Lindsay Lohan arbore "deux pneus à la place de la bouche" ; et on apprend qu'Arthur s'est blessé sur scène : une double entorse qui ne l'empêche pas d'assurer son rôle dans Le Dîner de cons... La détresse de la semaine ? Homme blessé, Sevan de la Star Ac' a du mal à digérer le fait que Noémie ait quelqu'un à l'extérieur (mais la jumelle de l'apprentie chanteuse assure que c'est fini avec Jérôme). D'autant plus dommageable qu'il se dit en manque de sexe : "Je suis à deux doigts de craquer !" C'est mieux que Les Feux de l'amour... Mais quand est-ce qu'ils chantent ? (Jordane Guignon)

Déluge d'artistes dans "Paris Match"















De Béatrice Dalle à Sean Connery... >


Une arche à la dérive, des conjoints de présidentiables américains, et pléthore d'artistes... Dans Paris Match, Béatrice Dalle évoque le tournage de Tête d'or, d'après Paul Claudel, dans une prison. Ses partenaires étaient des détenus, elle y a rencontré Guénaël devenu son mari. Elle parle de son amour pour "les durs qui sont tendres à l'intérieur", "les rugueux tatoués", et avoue trouver Vladimir Poutine "fascinant" : "Tant qu'à craquer pour un méchant; au moins avec lui, c'est la totale, explique l'actrice. Je suis comme la vigne vierge, il me faut un mur solide où m'accrocher... Après, je l'envahis, je le bouffe et je me casse !" Sur scène dans Les chaussettes, opus 124 (Théâtre des Mathurins), Michel Galabru revient sur sa carrière, pleine d'aléas. S'il tourne actuellement un long métrage, "le cinéma ne m'intéresse pas, dit-il. Un comédien est utilisé comme une marionnette. Vous passez la journée à attendre, on vous dit de prendre des cafés, et à 7 heures du soir c'est à vous ! Comme disait Jouvet, le cinéma est l'art de trouver une chaise ! Mon métier, c'est le théâtre." A 34 ans, Thomas Dutronc, fils de Jacques et de Françoise Hardy, sort son premier album, Comme un manouche sans guitare. Mais "mes parents n'ont pas grand-chose à voir dans ce schmilblick", explique-t-il. Et puis, il y a l'infatigable Charles Aznavour, la lumineuse Charlize Theron, et un grand-père pas comme les autres, Sean Connery, interviewé par sa petie-fille, la journaliste Stéphanie Renouvin pour le magazine Star Mag. (JG)

La nouvelle vie de Jacques Chirac dans "VSD"















mais aussi Cécilia, Vincent, David... >


Dans quelques jours, Jacques Chirac va rejoindre le Conseil Constitutionnel (en tant qu'ancien Président de la République, il en est membre de droit). L'occasion pour VSD de nous donner de ses nouvelles, et de nous conter sa nouvelle vie d'homme presque comme les autres. Sorties mondaines, voyages, fondation en création, livre en préparation, balades dans les galeries de Saint-Germain-des-Prés... bref, "Chichi" ne chôme pas. Retraité, mais dans la catégorie des "actifs". Pendant ce temps-là, Cécilia (sans patronyme, c'est inutile !) est partie se ressourcer à New York avec son fils Louis, sa fille Jeanne-Marie et le fiancé de cette dernière. Loin de l'agitation médiatique, mais à portée d'objectif... C'est aussi une rencontre au sommet entre le boxeur Jean-Marc Mormeck et le judoka Teddy Riner; et entre Vincent Cassel et David Cronenberg: le premier est dirigé par le second dans Les promesses de l'ombre. L'acteur français (qui incarne "le fils imbibé et déchu d'un caïd de la mafia russe installé à Londres") explique qu'il était "ravi, bien sûr, mais en même temps un peu inquiet" de travailler avec le cinéaste canadien. (JG)

Russell Crowe : "Hollywood ? C'est du cirque"



Russell Crowe : "Hollywood ? C'est du cirque"



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Question
Comment décririez-vous votre personnage dans American Gangster ?

Russell Crowe
Une chose est certaine, ce n'est pas l'argent qui le motive ! Et en même temps, ce qui est intéressant chez ce flic, c'est qu'il n'est pas moralement irréprochable.

Question
Si comme lui, vous trouviez un sac contenant 50 millions de dollars, que feriez-vous ?

Russell Crowe
Je prends le butin, je ne donne rien à personne et je dépense tout jusqu'au dernier dollar.

Question
Vous qui êtes d'une extrême franchise, comment faites-vous pour naviguer à Hollywood ?

Russell Crowe
Je vis principalement en Australie, donc je ne suis pas imprégné par cette atmosphère hollywoodienne. Pour moi, Hollywood reste très lié au travail de promotion ou aux interviews. Tout ce cirque quoi ! Les hordes de photographes qui attendent devant l'entrée de votre hôtel, je connais.




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Question
Vous êtes-vous habitué à votre statut de star ?

Russell Crowe
Ce statut je l'accepte et le comprend mieux qu'auparavant. Et tout cela grâce à un gamin qui m'a ouvert les yeux. Nous étions ensemble en train d'assister à un match de football américain, et le public commençait à m'importuner alors que j'essayais de me concentrer sur le match. Cela m'agaçait, et ce jeune de 19 ans m'a lancé : "Mais Russ, c'est toi la vedette c'est normal." J'ai tout à coup compris ce que cela signifiait pour les gens.

Question
Le fait d'être père affecte-il vos choix ?

Russel Crowe
Bien sûr ! Particulièrement d'un point de vue des tournages. Si un film doit se tourner dans un pays qui va m'éloigner de mes deux fils (Charlie, 3 ans et demi, et Tennyson, 1 an) trop longtemps, je préfère m'abstenir. Mon existence est tellement différente lorsque je suis loin d'eux. C'est incroyable ! Jamais je n'aurais pensé que j'éprouverais ce manque.Bien sûr ! Particulièrement d'un point de vue des tournages. Si un film doit se tourner dans un pays qui va m'éloigner de mes deux fils (Charlie, 3 ans et demi, et Tennyson, 1 an) trop longtemps, je préfère m'abstenir. Mon existence est tellement différente lorsque je suis loin d'eux. C'est incroyable ! Jamais je n'aurais pensé que j'éprouverais ce manque.

Jean Dujardin : son retour télé, derrière la caméra



Jean Dujardin : son retour télé, derrière la caméra



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Question
Vous revenez vers le petit écran sur 13e Rue, le 13 décembre, parce que vous êtes le 13e Français le plus populaire ?

Jean Dujardin
(Sourire charmeur.) Ah, c'est pas mal, ça ! C'est plus simplement parce que je suis allé vers ceux qui avaient envie de moi. Et aussi le moyen de m'enlever un peu la pression, en gardant une liberté de ton.

Question
Vous produisez et réalisez les quarante épisodes de trois minutes de Palizzi. Décrivez-nous le héros...

Jean Dujardin
C'est un ex-taulard politiquement incorrect, réac et bidon et touchant. Il fonctionne dans son monde, en circuit fermé, un peu comme Brice de Nice.

Question
Comment est-il né ?

Jean Dujardin
J'étais à Lacanau avec Arsène Mosca (l'interprète de Palizzi) en 2003, pour écrire Brice de Nice. L'inspiration ne venait pas. Du coup, on a déliré sur ce personnage de mafieux à la sauce Scorsese.






Question
C'est votre première expérience de réalisateur. Bilan ?

Jean Dujardin
Très positif, alors que j'avais peur que ce soit une tannée. J'ai fait 4000 Un gars, une fille et j'ai eu l'impression de retrouver la même énergie. J'étais à la maison. Avec plaisir.

Question
Il y a quelques guests, dont Alexandra Lamy. Cela vous a fait quel effet de la diriger ?

Jean Dujardin
C'était du gâteau. On a tellement joué ensemble. Et puis les bons comédiens, on ne les dirige pas...

Question
Vous êtes coproducteur de ce programme court...

Jean Dujardin
Une aventure de plus. (Faussement agacé.) Et puis, je fais ce que je veux. Je ne me suis pas dit : "Je vais gagner du blé." Pour l'instant, je n'en ai pas besoin. Tout va bien. Merci. C'est juste l'envie de mettre mon billet sur un pote, parce qu'il est super.






Question
Bientôt une deuxième saison ?

Jean Dujardin
Je vais commencer le tournage de OSS 2 au mois de mars et j'enchaînerai avec Lucky Luke. On va voir, mais j'adorerais.

Question
la célébrité vous a-t-elle guéri de votre pessimisme chronique ?

Jean Dujardin
Ce serait indécent de me plaindre. Mais c'est dans ma nature d'essayer de bien faire les choses et de me mettre le doute.

Question
Peur que tout s'écroule ?

Jean Dujardin
Non. Je ne m'habitue à rien. J'essaie de tenter des choses.






Question
Face au succès, quels sont vos garde-fous pour ne ^pas péter les plombs ?

Jean Dujardin
La vie que je construis à côté. Mon rêve était d'avoir une vie équilibrée, artistiquement et perso. Je l'ai et je sais encore où est le vrai.

Question
Vous avez l'argent, la reconnaissance, la liberté, la reconnaissance, la liberté, la popularité. "What else ?", dirait George Clooney.

Jean Dujardin
(Rires, avant de plonger dans ses pensées.) J'ai aussi du temps pour mes enfants (Simon, 7 ans et Jules, 6 ans, ndlr). Je voudrais juste que ça continue. C'est déjà beaucoup !

Propos recueillis par Caroline Bonacossa pour 'Télé Star'

je m'y colle ce soir ou demain
3 semaines de retard